Libreville, deuxième ville d'Afrique la plus chère (après Luanda) en Une du canard local. On veut bien le croire mais on a quand même des doutes.
Mais c'est certain, Libreville, c'est plutôt une ville de riches : il y a du bitume sur les routes, des feux de circulation qui fonctionnent (et qui sont respectés), des grandes surfaces "comme en France", une librairie à peu près digne de ce nom, plein de restaurants, un centre-ville paisible à défaut d'être coquet, où l'on se balade tranquillement.
C'est peut-être cette tranquillité qui constitue le principal défaut de la capitale gabonaise, car malgré la présence massive d'immigrés de toute l'Afrique, on ne peut pas dire que la ville trépide : le seul Bandal - qui doit bien avoir le même nombre d'habitants que Libreville - est à peu près 100 fois plus animé la nuit tombée.
8 commentaires:
c'est l'été.
Ha ! c'est bien.
(un seul "l" à "balade", ceci dit).
Et passionant avec deux "n", je vous prie, merci bien. Ce n'est pas la première fois qu'on vous le dit pourtant.
Ouais, ouais.
Complètement accent grave.
Magnifiques au pluriel.
Rhâ, voilà, vous avez réveillé Hobopok, avec vos conneries !
Pour "mangnifique" non, pas de s, mais une virgule, mais là j'ai la flemme de changer.
Quand on fait un blog qui se veut instructif, on le fait sérieusement, sinon ce n'est même pas la peine de s'y employer.
A bon entendeur, salut.
H.M.
Enregistrer un commentaire