samedi 31 octobre 2009

Joe Dog : exposition

Je vous le livre tel quel (en anglais quoi) :


Works on Paper
A solo exhibition by Anton Kannemeyer

On Thursday 12 November at 6pm.

The exhibition runs until 15 December.

Brodie/Stevenson is pleased to present a solo exhibition by Anton Kannemeyer. Kannemeyer will show a variety of original drawings and editioned prints, including drawings from the artist’s sketchbooks and works selected from his extensive archive of rare, older prints.

The exhibition will comprise two bodies of work: politically orientated pieces, which take a highly satirical approach to historical and contemporary situations in Africa, and a selection of more personal works, focusing on self-portraiture as well as idiosyncratic characters in whom Kannemeyer has taken an interest.

Included among the political works will be some rarities by Joe Dog – Kannemeyer’s alter-ego, the co-creator of Bitterkomix – such as original black ink drawings for the covers of The Big Bad Bitterkomix Handbook and posters from Bitterkomix Vols I and III.

Kannemeyer’s appropriation of Herge’s Tintin character reappears in two new, large-scale drawings that offer a searing critique of Belgian colonisation of the Congo. Also on show will be ink sketches for several of Kannemeyer’s paintings.

Kannemeyer’s ongoing Alphabet of Democracy series will be represented by several rare or unavailable prints, as well as a unique hand-worked version of Z is for Zuma (featured on the cover of Art South Africa’s December 2008 issue). Danie Marais writes that in this series.

[Kannemeyer] has turned his focus from the sins, perversions and sexual repression of the fathers to the bigger post-apartheid picture. The Alphabet still sharply comments on the madness directly below the surface of the rabidly conformist parts of white South African society, especially the Afrikaans community. But as the title indicates, it is also concerned with the current mutations of bigotry bred by political correctness, financial greed and the hollow rainbow and renaissance rhetoric of a new political hierarchy. (Danie Marais, ‘White on black on white’, 2007)

Autobiographical and other personal work by the artist will include iconic prints such as A White Person (acquired by the Museum of Modern Art, New York, in 2007), 5-Headed Monster of My Youth (2008), Look, Over There… (2005) and True Love (1999). There will also be drawings from the artist’s ongoing Author series depicting Etienne Le Roux, George Sand, Eugene Marais and Charles Bukowski, among others, in addition to sketchbook pages and self-portraits.

For further information please email info@brodiestevenson.com

16 commentaires:

popol-an a dit…

an

agence tout risque a dit…

Mister-T va venir vous péter la gueule/

collègue a dit…

Ce WE déménagement m'a épuisé...

Annie

collègue a dit…

Congo farniente, demain la rentrée.
Laurence

collègue humide comme la jungle a dit…

Tu pourras ma la rendre.

J

gilles coussin a dit…

"prout" sur la bd

globulocaca a dit…

VENNEZ SUR LE BLOG DE LACRAINTE, BEAUCOUP DE RIREs, DE CHANTS ET D'AMOUR/

Anonyme a dit…

Les quarante manieres de foutre

Première façon
De La Bonne Mode
Comme toutes les filles, même les pucelles savent cette manière. Il est inutile, je crois, de l'enseigner ici en détail : c'est foutre tout bonnement, comme l'ont fait nos pères pour nous donner la vie, et comme au village, sur le gazon, Lucas fout sa bergère. Car où n'a-t-on pas foutu, où ne foutra-t-on pas, après nous, à la bonne mode ?

Deuxième façon
La Cavalcade
Il faut d'abord mettre le vit au con à la bonne mode (s'entend bien roide et bien bandant). Après quoi la fille doit rapprocher la cuisse, et le fouteur passer les genoux dessous, de manière que le vit soit bien serré et ne déconne pas. Alors celui-ci tape ferme, et la fille tortille du cul pour hâter l'épanchement. Cette manière est surtout avantageuse à la femme lorsqu'elle est fourbie par un vit gros et long.

Troisième façon
La Chinoise
La fille doit replier ses genoux au-dessus de ses hanches, en sorte que ses talons portent sur ses fesses. Alors son cavalier l'enconne si avantageusement qu'il pénètre au plus profond. Le jeu consiste ensuite, de la part de l'un à culotter vivement, et de la part de l'autre à s'agiter et faire le moulinet avec son cul, afin d'exciter son fouteur et recevoir à plein goulot la douce rosée de la liqueur vivifiante qui l'humecte.

Quatrième façon
à A Demi Lit
Que le cul de la fille soit avancé le plus possible sur le bord du lit, que ses jambes se croisent au-dessus des jarrets de celui qui l'a enconnée. Il ne reste plus qu'à taper ferme. La fille ne doit pas oublier de donner à ses fesses un mouvement périodique ou intermittent.

Cinquième façon
La Catalane
La fille, couchée sur le dos, lève les jambes et les cuisses le plus qu'il lui est possible, et, pour point d'appui, elle prend avec les mains ses deux pieds au-dessus de la cheville, pour mieux présenter le mont de Vénus. Alors le champion grimpe, et comme, dans cette position, la fille ne saurait agiter le cul, étant trop écarté du centre de gravité, elle se contentera de le tortiller et de faire la Garbalade. Pour tous deux, le plaisir sera inexprimable, surtout si le vit est carré et long.

Anonyme a dit…

Sixième façon
La Sultane
Il faut que la nymphe se place de manière que ses cuisses soient très ouvertes, ses genoux repliés, et ses pieds sous les fesses. Qu'il est alors facile d'enconner ! Pour doubler ses plaisirs et ceux de son fouteur, elle peut lever le cul, claquemurer, tortiller et faire le moulinet. Si elle fait bien varier ses mouvements, c'est, de toutes les manières, la plus voluptueuse. Elle fut inventée par une des femmes de Mahomet II, et lui valut le titre de sultane favorite.

Septième façon
La Basse Accolade
La nouvelle Poppée se couche sur le dos, les cuisses écartées. On l'enconne à la bonne mode. Puis elle lève les jambes, les croise sur les reins de son fouteur et joue du croupion à force. L'issue en est la même qu'aux façons qui précèdent et suivront : la fille et son cavalier se pâment et déchargent à l'unisson.

Huitième façon
Le Moulin a Vent
Il faut se placer et enconner comme pour la bonne mode. Ensuite, la fille lève ses jambes alternativement à la hauteur des reins de son cavalier, où elle les pose un instant. Ce mouvement doit être modéré et sans interruption. Les jambes, ainsi, montent et descendent sans se rencontrer. Le fouteur ressent un plaisir singulier.

Neuvième façon
Le Monde Renverse
Le fouteur doit se coucher sur le dos, le vit roide et dur. La fille se place dessus, les cuisses ouvertes, et s'enfile elle-même. Ensuite, elle les resserre petit à petit, et enfin ramène ses genoux entre ceux de son amant, se couche sur lui, le caresse avec mignardise. Et quand ils sentent les avant-coureurs du plaisir par excellence, ils doivent lever le cul ensemble et s'entraider dans leurs mouvements, tantôt lents, tantôt précipités, pour goûter bientôt la perfection du plaisir. Car, ne vous y trompez pas, ce n'est que dans l'épanchement du foutre qu'il réside.

Dixième façon
Le Monde Ouvert et Renverse
Le cavalier, couché sur le dos, présente un vit dur et bien bandant (car, dans toutes les jouissances, ou postures, c'est toujours la condition sine qua non). La fille, comme lui, ouvre les cuisses, se met à califourchon dessus son vit, et le place elle-même. Le fouteur serre ses cuisses. On se caresse mutuellement. Le talent de la fille est de donner à ses mouvements des charmes, des grâces variés.

Anonyme a dit…

Onzième façon
La Douce Empalade
La fille doit se placer à genoux, les cuisses ouvertes, et les hanches de son fouteur entre deux, de manière qu'elle soit assise sur son cul, dans l'intervalle des jambes de son cavalier. Dans cette position, elle s'enfile elle-même de son vit, se dandine dessus, se branle, tourne sans sortir du pivot, en un mot foule et refoule en cadence jusqu'à la suprême volupté.

Douzième façon
La Jument du Compere Pierre
La fille se met à genoux, les cuisses bien écartées, le cul relevé et placé sur le nombril de son fouteur, qui entre dans le brancard et s'y place de façon que ses hanches se trouvent comprises entre les cuisses de la fille. Elle empoigne l'outil joyeux, le met en oeuvre, et fait tous les mouvements que lui inspirent ses goûts, et le désir de foutre et d'être foutue. Il est tant de manières de culotter !

Treizième façon
L Extremite
Après que le fouteur a enconné la fille comme pour la bonne mode, s'il se trouve un peu trop au large à son gré, qu'il lève une de ses jambes et fasse passer une des cuisses de la fille entre les siennes. Alors son vit se trouvera logé plus à l'étroit, tous deux foutront avec plus de plaisir.
Nota. Cette façon est peu d'usage, elle n'est pas flatteuse : on est, ou trop mince ou trop large. Souvent la fatalité oppose les deux accidents.


Quatorzième leçon
La Grenouille a la nage
La fille, couchée sur le ventre, reçoit entre ses cuisses bien ouvertes son fouteur à genoux. Ensuite, elle croise ses jambes sur les jarrets de son fouteur qui l'enconne bas et roide. Le plaisir qui résulte de cette posture est commun et égal, mais toute la fatigue est pour le champion, qui a besoin de reins souples. Pour nager à pleines voiles dans cet océan de volupté, la fille n'a qu'à se prêter aux mouvements et laisser ramer son corsaire... On dira tout ce qu'on voudra, mais ça fait un plaisir !... c'est une volupté !...

Quinzième façon
Le Rebours de la Cavalcade
La fille se couche sur le ventre, comme dans la posture précédente, et met sous elle le traversin de son lit, simple ou double, en observant qu'il soit placé au niveau de sa motte. Les fesses ainsi relevées, elle le présente beaucoup plus beau. Son fouteur se couche sur elle, presse ses cuisses entre ses genoux, et l'enconne ferme. Mais il faut être nerveux et riche en pièces pour bien tirer parti de cette façon-là. Par malheur, c'est un avantage que tout le monde n'a pas.

Seizième façon
Le Rebours de la Chine
La fille doit être à genoux, le cul sur les talons, la tête appuyée sur ses deux bras, et comme prosternée sur le lit, en sorte qu'elle offre au vit du fouteur son con bien à découvert. Celui-ci, à genoux derrière elle, le lui pose et l'enfonce avec vigueur. Il est sûr que, de cette manière, si Priape est puissant de taille et de sucs, elle sera foutue d'importance. Car ici tout est profit, et, en fait de plaisir, rien n'est à négliger.

Anonyme a dit…

Dix-septième façon
La Levrette
La fille se met sur ses genoux et laisse porter son corps sur ses mains, et présente ainsi le cul et le con. Son fouteur se met également à genoux, derrière elle, le reste du corps droit, passe une main sur la croupe de sa monture et, de l'autre, guide son brandon dans la grotte de Vénus. Il faut baisser pour entrer d'un temps. Cette posture est favorable aux courtes. L'avantage général est pour les gros.

Dix-huitième façon
La Caresse du Tendre Ami
Le cavalier se couche sur le côté droit, passe le bras sous le col de la fille, met une de ses cuisses sur ses hanches.
Celle-ci prend le vit de son fouteur à pleines mains, le fait entrer jusqu'à la racine. On doit attendre le plaisir sans le hâter par des mouvements précipités. Mais une main légère peut jouer ces oeufs que Jupiter déposa ailleurs qu'au sein de Léda, quoiqu'on en dise.

Dix-neuvième façon
La Caresse de la Tendre Amie
Cette posture est exactement la contrepartie de celle ci-devant : la fille y fait le rôle de fouteur, qui joue celui de la fille. Au surplus, tout s'y pratique de même. Elle a autant d'agrément et de gentillesse, puisque le vit n'entre pas moins avant, et c'est l'essentiel.

Vingtième façon
La Boudeuse
La fille tourne le dos à son fouteur qui lui prend une de ses cuisses, passe la sienne entre, élève l'autre sur sa hanche, et enconne bas et roide ; se couche sur ses cuisses à demi renversées, fout de suite et s'endort sur sa besogne. Cette façon n'est pas sans attraits, c'est d'ailleurs une bonne recette pour faire un beau rêve.

Vingt et unième façon
La Boudeur
Cette posture est la répétition de la précédente quant à la position, avec cette différence que c'est l'homme qui a le dos tourné, et que c'est la fille qui place le vit. Deux points la différencient : la fille y perd un bon pouce au moins et ne s'endort jamais sur le matin. Vit-on fille dormir le vit au con ?

Vingt-deuxième façon
La Reconciliation
Le cavalier et sa fille, couchés sur le côté en face, s'embrassent et s'unissent de manière que le vit entre de lui-même. S'il s'égare, qu'une main féminine le ramène au centre. Cela fait, ils se serrent réciproquement entre leurs bras, s'allongent, se replient jusqu'à ce qu'ils se trouvent bouche à bouche, sein contre sein, ventre contre ventre. Ensuite, par de légers mouvements, on attire le plaisir.

Vingt-troisième façon
Le Parfait Contentement
La fille tourne le dos, se met sur le côté, remonte ses genoux jusqu'à son menton, et s'arrondit jusqu'à ce qu'elle se soit donné la forme d'une pelote. Ensuite le fouteur se couche en travers, place son vit en face du con et l'enfonce jusqu'au poil, de manière, cependant, qu'il n'y ait que les deux points intéressants qui se rencontrent. Il est maître, alors, de fournir sa tâche, sans s'arrêter, ou de faire une pause à moitié chemin. Tout cela dépend des dispositions dans lesquelles on se trouve : si l'on est frais, on fout ; l'on dort si l'on est las.

Anonyme a dit…

Vingt-quatrième façon
L'Entrelacs dans les deux Genres
Le fouteur et sa fille se couchent l'un et l'autre sur le côté, une des cuisses de l'homme entre celles de la femme, et l'autre par-dessus, ou bien une des cuisses de la femme entre celles du fouteur. Celui-ci enconne ferme et pousse de même, et, pour peu que l'un et l'autre se donnent du mouvement, il en résulte un plaisir d'autant plus doux que, dans cette attitude, ils peuvent se becqueter à l'aise.

Vingt-cinquième façon
La Cane Poule
La fille se met à genoux au bord du lit, prosternée sur le visage et le cul portant sur ses talons. Le fouteur, debout derrière, l'enconne et entre, s'il veut si avant qu'à peine les couilles paraissent-elles. Au reste, cette manière est plus propice à l'amant qu'à l'amante. Aussi décharge-t-il de bonne grâce, souvent plusieurs fois dans la même posture.

Vingt-sixième façon
Tout Au Vent
La fille se couche sur le dos, à demi-lit, relève ses jambes et les place sur les deux épaules de son fouteur, qui lui plante le vit au con. Cette attitude a d'autant plus de charme pour lui que, pendant tout le temps, il jouit de l'attouchement et de la douce friction d'une belle paire de fesses. C'est un bien grand stimulant, surtout quand elles sont rebondies, élastiques, etc.

Vingt-septième façon
Le Biais
La fille se couche sur le dos et à demi-lit comme dans la posture précédente, mais elle ne place qu'une de ses jambes sur l'épaule de son fouteur, qui l'enconne à l'instant, et laisse l'autre pendante, ou bien l'appuie sur une chaise. Cette manière est délicate et voluptueuse à tous égards.

Vingt-huitième façon
La Vive medaille
La fille se couche à demi-corps sur le ventre, et d'ailleurs reste sur ses pieds. Le fouteur, également debout, le lui met par-derrière, reçoit et rend secousse pour secousse jusqu'à ce qu'il soit entré le plus possible. La fille, devant, serre les cuisses selon l'étiquette. Quelque-fois, dans l'ardeur du plaisir auquel elle se livre entière, elle l'oublie. Cette manière n'est commode, pour le fouteur, s'il est petit, car souvent il faut qu'il se tienne sur la pointe de ses pieds.

Vingt-neuvième façon
La Main Odalisque
Cette façon n'a rien de particulier, et n'est effectivement recommandable que parce qu'elle fait partie de l'étiquette des sérails français. Au reste, il ne s'agit que d'enconner la fille tenant son fouteur sur elle, soit couché, soit autrement, et lui frottant le dos depuis la nuque jusqu'au croupion le long de l'épine dorsale, ce qui cause un chatouillement délicieux.

Trentième façon
La Brouette
Il faut que la fille se couche sur un lit et sur le ventre, qu'elle place le bout de ses pieds sur chaque épaule de son fouteur, qui prend un des genoux de la fille dans chacune de ses mains et les porte sur ses hanches. Il pousse et repousse vivement, toujours debout, va et vient comme s'il brouettait. Cet équipage est très solide quand la cheville ouvrière est de taille et qu'elle est entrée avec quelque difšculté. Les routes étant d'un long service, on peut ainsi brouetter longtemps.

Anonyme a dit…

Trente et unième façon
Le Clystere Gaillard
La fille se place sur le bord du lit comme pour recevoir un clystère, c'est-à-dire le cul hors du lit et la fesse de dessous tant soit peu retirée pour faire bâiller le con. Le fouteur, debout à côté, l'enconne doucement et sans bruit. Ainsi plus d'un mari fut coiffé par sa moitié, ainsi la vigilance d'une mère fut trompée par sa jeune fille, dont la rose faisait tout son espoir. Cette manière plaît d'autant plus qu'elle réunit à la douceur de foutre le plaisir de le faire à la barbe des surveillants jaloux. Sans doute elle a ses périls. Mais que l'amour trahisse le lâche amant qui réfléchit. J'aurais pu me dispenser de peindre cette manière, car il y a tant de filles à qui cela démange, tant de garçons qui brûlent de le leur gratter, et puis le diable est si malin, que ce serait une merveille si j'en donnais la première leçon.

Trente-deuxième façon
La Badine
Le fouteur s'assied sur une chaise. S'il est culotté, il se déboutonne et baisse très bas sa culotte. Il vaut mieux l'ôter si l'on prévoit avoir assez de temps pour la remettre. La fille se met sur lui à califourchon, le visage en face de celui qui la caresse. Elle met l'oiseau en cage et, par ses mouvements, excite son ramage. Elle peut aussi se placer en sens contraire : le fouteur passe alors ses mains sous ses bras et saisit les pommes de Vénus.
Nota. On se plaindra peut-être de la monotonie du texte : toujours enconner, décharger ! Mais n'est-ce pas aussi le but de toutes les postures imaginables ? Les unes sont pour ralentir, les autres pour précipiter le plaisir : le terme est le même... Un jour, peut-être, en y pensant ferai-je de tout ceci des tableaux d'un style plus soigné... En attendant, pour vous dédommager, puissiez-vous toujours enconner et foutre !


Trente-troisième façon
La Mysterieuse
Le fouteur s'asseoit sur une chaise, la fille se trousse et s'asseoit aussi, mais sur ses cuisses et lui tourne le dos.
Ensuite elle passe la main sous sa jupe, saisit le joyeux outil et le met en place, et s'enferre d'elle-même par son propre poids, et demeure ainsi accrochée jusqu'à ce que le clou tombe de lui-même, ce qui ne manque pas d'arriver tôt ou tard. Dans une voiture, au retour du spectacle, de la promenade, d'un bal, combien de filles ont été ainsi foutues, même auprès de la chère maman !... Galants, faites en sorte d'être souvent cinq dans une voiture, et profitez de la leçon !

Trente-quatrième façon
L'Hercule
La femme se met à califourchon sur son fouteur assis sur une chaise. Elle prend son vit à pleine main, le branle jusqu'à ce que, gonflé par les esprits vitaux, il lève une tête altière. Ensuite elle le place dans son con et passe ses bras autour du col de son amant, qui lui passe les siens sous les cuisses et prend le haut de ses fesses, puis se lève tout debout et la fout ainsi en se promenant.
Pour essayer de cette manière, il faut être fort de reins : c'est la plus fatigante. Petits-maîtres, Hercule ainsi foutait. C'est assez vous dire que c'est au-dessus de vos forces.

Trente-cinquième façon
La Sentinelle
Lorsqu'on a peur d'être pris en flagrant délit, on ouvre la porte à moitié et la fille s'appuie sur le chambranle, la tête du côté de l'escalier et le corps dans la chambre, à demi-courbé. Dans cette position, le galant la trousse et la fout avec vivacité : la crainte lui donne des forces. Il faudrait être bien malheureux pour être pris après tant de précautions.
D'ailleurs, une porte ouverte met en défaut l'importune curiosité.

Trente-sixième façon
La Balancoire
La fille et son fouteur s'asseoient sur un lit vis-à-vis l'un de l'autre, entremêlent leurs jambes, puis ils rapprochent leurs corps jusqu'à ce qu'ils se touchent d'assez près pour que le vit puisse entrer dans le con. Alors, ils se prennent par les deux mains, se soulèvent avec précaution et se laissent tomber alternativement l'un sur l'autre, et se relèvent de même. La durée de ce mouvement périodique dépend de celle de l'érection : quand la cheville manque, tout se doit séparer.

Anonyme a dit…

Trente-septième façon
Le Contresens ou la Bete deux tetes
La fille se couche sur le dos et met un carreau sous ses fesses, pour faire saillir davantage la motte. Elle lève ses cuisses, ainsi qu'il est prescrit pour la Catalane. Le fouteur se met à genoux et s'appuie sur ses mains, marche à quatre pattes à reculons, et montrant son cul à la fille, jusqu'à ce que son vit soit perpendiculaire à son con. Il le lui met alors le mieux possible et remue le croupion en tortillant, et distille le foutre avec fureur.

Trente-huitième façon
Le Rebours de la Bete deux tetes
Le cavalier se couche sur le dos, le vit en l'air et bien roide. La fille se place sur lui à contresens, la tête tournée du côté de ses pieds, en observant que son con soit placé bien vis-à-vis le piquet de son fouteur. Elle l'empoigne et le niche elle-même. Il ne reste plus qu'à s'entraider par des secousses mutuelles pour le faire entrer plus avant : le plaisir acquiert de la vivacité à mesure qu'il pénètre davantage.

Trente-neuvième façon
La Nourrice
Une fille qui a de gros tétons ne laisse pas que de flatter la lubricité de son amant lorsque, pour ranimer la vigueur mourante, elle lui présente sa gorge à foutre. Elle place son vit entre deux en forme de bouquet, rapproche ses tétons avec ses deux mains de manière que le vit soit recouvert et comme emprisonné. L'amant, après bien des mignardises, sent renaître les ailes de sa flèche et décoche son trait. Bien des gens, même, déchargent dans cette vallée de lys, n'osant descendre dans la grotte de Vénus.

Anonyme a dit…

Quarantième façon
La Rocambolle de Milan
Il faut que la fille se mette à genoux sur un lit, la tête prosternée sur le matelas et le cul très élevé. Après lui avoir découvert les fesses, en avoir un moment contemplé la rondeur, la fermeté, la blancheur, on fait quelques légers suçons. Le fouteur, avec de la salive, mouille son vit, le place et l'enfonce dans le cul avec bien moins de résistance que l'on ne croit peut-être. Il fait deux ou trois allées et venues, ce qui met la fille en feu, et le dispose lui-même à décharger abondamment. Cependant, il branle la fille avec un doigt, ou elle-même fait cet office si elle l'aime mieux. Aussitôt qu'ils sentent les approches des plaisirs, le fouteur quitte la prison où il s'est pour un moment renfermé, plonge plus bas, et va mêler son foutre à celui de la fille, qui frémit de volupté.
Nota. Comme la rareté met le prix aux choses et la nouveauté leur prête des agréments, une fille adroite, pour retenir dans ses chaînes un amant, ou libéral, ou vigoureux, doit lui reproduire le plaisir, au fond toujours le même, sous mille formes différentes. Le plaisir, entre ses bras, doit être plus changeant que Protée. Telle fille dut sa fortune à une posture inventée à propos, telle autre eut la vogue pour avoir su, nouvelle Aurore, rajeunir un Tithon dans ses bras. Vénus n'est-elle pas plus belle que Diane, Pallas, ni même les Grâces qui marchent à sa suite ? Mais Vénus est coquette et sait découvrir à propos sa brillante ceinture, Vénus a l'empire de la beauté, et son temple est célèbre en tout pays. Ses prêtresses, partout, suivent son exemple, mais après avoir épuisé la nature, elles ont recouru à l'art. Les Françaises, plus timides ou moins ardentes aux plaisirs, se contentent des chemins battus et bornent toute leur science à quelques mignardises qui tiennent à leur caractère plus lent. Les Géorgiennes, les Italiennes, les Créoles, nées sous des climats plus chauds ont aussi des ardeurs plus vives : chez elles un désir satisfait fait naître mille désirs qui survivent toujours aux plaisirs, qui ne sauraient les éteindre. Aussi sont-elles plus ingénieuses pour créer de nouvelles jouissances : rien ne les arrête, rien ne les rebute ; la douleur même, le dégoût, ne suspendent point la fureur lascive. La dernière manière, et celles qui suivent, ont été inventées dans ces climats brûlants où l'art de la volupté est une étude.
La signora Marjolana écrivait à son amant, qu'elle croyait refroidi à son égard :
« Tu me quittes, ingrat, parce que pour toi j'ai épuisé l'art des Laïs, des Messalines, des Poppées !... Reviens... je t'adore... je brûle... je suis toute à toi : depuis le sommet de la tête jusqu'aux talons, viens me foutre où tu voudras ; à telle partie du corps que je foute ton vit bandant, ma joie est extrême... Viens... l'amour nous sera propice !... Viens... je le sens... déjà mon imagination... je conçois... oui.., une nouvelle posture ! Oui ! si tu ne crains point mes dents, que ma bouche soit pour toi un nouveau con. Avec quelles délices tu vas répandre cette liqueur divine !... Tu t'étonnes ?... Eh quoi, je ne vis que pour foutre. Que le foutre m'abreuve ! Je veux manger, je veux boire... foutre !... Oh ! mon con, pardonne et ne sois pas jaloux ! Tant de fois tu as nagé dans les flots de foutre ! Mais toi, mon doux ami, si tant d'ardeur te plaît, viens te pâmer vingt fois, sur mon sein, d'amour et de volupté. Tu me verras vingt fois mourir et renaître dans tes bras, ranimée par tes baisers. »
Cette lettre a donné l'idée de la posture que je vais décrire. Mais pour cet excès de volupté, il faut un excès d'amour.

Anonyme a dit…

Quarante et unième façon
La Gamachucheuse
La fille se couche tout de son long sur le dos. Elle écarte les jambes assez pour recevoir la tête de son amant, qui s'est étendu sur elle à plat-ventre. Celui-ci soulève ensuite un tant soit peu son corps de manière que ses cuisses pèsent légèrement sur les épaules de la fille. Ils se chatouillent réciproquement avec les mains. Et quand la fureur d'amour s'empare de la fille, elle prend entre ses lèvres le vit de son amant et le branle avec sa langue jusqu'à ce que le foutre coule à gros bouillons. Cependant, d'une main elle badine avec les pelotons de Vénus, et son fouteur (si sa passion est égale à celle de la nymphe) darde amoureusement sa langue frétillarde sur le clitoris, ou plus avant ad libitum.