dimanche 26 février 2012

Chaudron, Brazza, René


Totochement i pète kartié Chaudron. Et ailleurs (jusqu'à l'Etang-Salé, bon dié !).
Le Monde (.fr) titre "Seuls les expatriés s'en sortent", laissant une partie des commentateurs pantois (qu'entend Le Monde par "expatriés" ? Les zoreils ? Les fonctionnaires ? Les *vrais* expatriés sûrement pas en tout cas), tandis que l'habituelle meute de connards commentateurs bas du front se vautre dans les propos récurrents sur "qu'on leur donne leur indépendance, ils nous coûtent trop cher" - c'est devenu un réflexe pavlovien dès qu'on parle de l'outre-mer, apparemment).


Moi, je n'ai ni eau ni électricité, alors je me suis enfui quelques jours à Brazzaville, c'était bien, bons restaus, belle vue sur Kin. D'ailleurs, si Kinshasa ignore à peu près Brazza, Brazza ne semble, elle, n'avoir d'yeux que pour sa grande voisine agitée (et un peu plus excitante, il faut en convenir).
René, quant à lui, mange des poissons.


2 commentaires:

Antioche a dit…

Camille Sudre a acheté "Le Monde" et on ne m'en a rien dit ?! Bon, en tout cas, la Place des fêtes, Paris XXè, est encore calme au moment où j'écris ces lignes. Pourtant, je peux en témoigner, trois Réunionnais ont visité le Franprix du haut de la rue de Belleville pas plus tard que cet après-midi. Moi, exilé volontaire, et deux jeunes "expat'" donc. Je surprends leur conversation. Après observation dubitative de mangues dites du Pérou, un peu flétries, certes, mais à 1,50 € à l'unité, (promo "que demande le peuple") : "Té! Bana i apèl se nafèr la : "mang'" ?!?".

Appollo a dit…

Mi oublye pa ou dalon antioche, mi va répond aou din ninstant (enfin disons dé-trwa jours). Domaj solman nou la pa rankont anou à paris.