Le truc de Konono, c'est le likembé électrique, aux branchements rudimentaires (souvent à un mégaphone), ce qui lui donne des effets de distorsion assez étonnants. Un percussioniste se munit d'un sifflet, le batteur martèle, et tout le monde chante (en kizombo, je crois, une sorte de dérivé du kikongo) dans un genre de transe répétitive et hypnotique (le tout est quand même assez bruyant).
C'était pas mal du tout.
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