Tous les broussards fanatiques du canasson sont montés dans la capitale, et il y a même des équipes d'Australie et de Nouvelle Zélande.
Je mise royalement 200 francs cfp sur un canasson qui a le double avantage de porter un nom idiot qui m'amuse (dont je me souviens plus : Tropical Thunder, Atomic Palmier, le genre quoi) et d'avoir une cote très intéressante (278/1, ce qui devrait me rapporter une somme considérable).
Alors le truc des cotes, il faut le savoir, est un indicateur assez fiable de la qualité du bourrin qui court : à 278 contre 1, Atomic Palmier s'avère particulièrement minable, arrivant loin derrière les autres fringants coursiers.
Un peu dégouté de ce coup du sort qui m'empêche d'être millionaire en francs pacifique en un tour de main, je mise l'ensemble de ma fortune (300 fcp) sur un cheval qui semble avoir ses chances (d'après les cotes) dans le Grand Prix de la Ville. Las, mon favori arrive avant dernier, et c'est Strawberry Tart qui l'emporte (devant Rocket Gal et Malukar).
La prochaine fois, j'irai à l'opéra.
j'aurais plutôt écrit "en un tournemain".
RépondreSupprimermais sinon il est bien ce blog, continuez !
bonjour.