samedi 21 novembre 2009

En face

A Brazzaville, on est dans un autre pays : le centre-ville est propret, la circulation fluide, les gens marchent dans les rues tranquillement, les flics se font discrets, tout semble paisible.


Trop paisible d'une certaine manière, puisque le soir venu, on ne peut pas dire que la ville (du moins son centre) grouille d'activités (quelques restaus, un ou deux bars).
Le touriste que je suis peux visiter le fameux mausolée de de Brazza (qui était le point de départ d'Equatoria, le livre de Deville), la basilique Sainte-Anne ("symbole de l'architecture franco-congolaise de Roger Erell"), la case De Gaulle, l'école de peinture de Poto-Poto...

C'est bien, Brazza, on peut se promener à pieds, manger du bouillon de singe ou de porc-épic (je n'ai goûté ni l'un ni l'autre), boire une Primus "bière du pays" en regardant les rapides du fleuve Congo.

Ah ben oui, parce que si je lève les yeux, les immeubles de Kin' sont là, juste en face, à 1 ou 2 km, même pas. Je pourrais même apercevoir ma maison si j'étais moins bigleux.

Il faut donc 6 mn de bateau pour traverser le grand fleuve, et pour changer de monde - ou presque.

3 commentaires:

  1. Moi aussi j'y suis allé... c'est vrai que c'est pas mal.

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  2. tu te souviens de ce petit film que tu m'as fait faire en bikini sur la plage?

    Biiz
    C

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  3. Alors, on en fait quoi maintenant des photos?
    La séance m'a épuisé. Tu m'as fait faire de ces trucs.
    ça va que c'est toi mon gros samoussa, mais t'as vraiment des idées tordues.
    à plus.

    R

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